Conseiller au cabinet du ministre de l’agriculture Jean Glavany (à droite) du gouvernement Jospin, Bertrand Hervieu (à gauche) travaille notamment sur la préparation de la loi d’orientation de 1999 avant d’être nommé président de l’Institut National de la Recherche Agronomique pour 4 ans. Docteur en sociologie, il est l’auteur d’environ 300 articles scientifiques ou de vulgarisation ainsi que d’une quinzaine d’ouvrages.
Paul Vialle, un DG réformiste pour l’Inra
Paul Vialle n’a eu de cesse tout au long de son parcours professionnel de tisser des liens entre les citadins et les ruraux. En peine crise de la vache folle, Paul Vialle revient à l’Inra en 1996 avec le titre de Directeur général. Avec Guy Paillotin, alors Président de l’Inra, il réforme en profondeur les structures d’encadrement de l’institut, et le dote d’un véritable collège de direction lié aux départements disciplinaires.
Débuts des travaux sur l’extraction de l’ADN des sols
L’extraction directe de l’ADN d’échantillons de sols marque une étape importante dans l’harmonisation des méthodes de quantification et d’identification des communautés microbiennes des sols. Mise au point au laboratoire de Microbiologie du sol et de l’environnement de l’Inra de Dijon, cette méthode d’extraction a fait l’objet d’une norme (ISO 11063) en 2009.
Le Président Jacques Chirac se fait une joie de déambuler dans les allées du salon
Le plus jeune décoré de la médaille du mérite agricole (1962), Jacques Chirac se plait fortement au salon de l’Agriculture. Tout d’abord en tant que ministre de l’Agriculture (1973-1974), puis en tant que Maire de Paris à partir de 1977. Il ne ratera aucun salon lors de ses deux mandats de présidents entre 1995 et 2007.
Les coûts de séquençage de l’ADN des sols divisé par 60 000 !
Les coûts par mégabase de séquençage de l’ADN sont passés de 52 millions de dollars en 2001 à… 900 dollars en 2012. Une chose réalisable par l’invention du séquençage haut débit et aux travaux dirigés par l’Inra de Dijon.
Création de la plateforme GenoSol
L’objectif est de fournir une structure logistique et technique assurant l’acquisition, la conservation, la caractérisation et la mise à disposition des ressources génétiques microbiennes (ADN) des sols issues d’échantillonnages de grande envergure.
Séquençage du génome du peuplier
Dans le cadre d’un consortium international, une équipe du centre Nancy-Lorraine, l’unité « Interactions Arbres-Microorganismes » a participé au 1er séquençage d’un arbre, le peuplier, choisi en raison de sa croissance rapide et de son intérêt économique.
Le Secrétaire d’État aux affaires européennes à Dijon
Harlem Désir était au centre Inra de Bourgogne-Franche-Comté lundi 1er juin 2015 dans le cadre du lancement de la programmation 2014-2020 des fonds européens en Bourgogne. Accueilli par la présidente du Centre Inra Françoise Simon-Plas et par le Président de l’université de Bourgogne Alain Bonnin, le Secrétaire d’État a visité le Centre des Sciences du Goût et de l’Alimentation.
Création du métaprogramme GISA
Programme de recherches élargi, à la confluence de plusieurs disciplines, GISA (Gestion Intégrée de la Santé des Animaux) a pour ambition de comprendre l’animal et ses pathogènes, de construire la santé dans l’exploitation et dans les filières ainsi que de préserver l’Homme et les territoires. L’objectif à terme est de favoriser l’émergence de modes intégrés de promotion de la santé animale adaptés aux filières de production.
Début du métaprogramme MEM
Ce programme de recherche, transdisciplinaire et transversal, a pour objectifs d’étudier la diversité génétique d’écosystèmes microbiens encore peu connus, de manière à prédire, contrôler ou modifier leur fonctionnement. Le périmètre du programme comprend : les agrosystèmes, les digesteurs, les écosystèmes alimentaires et ceux liés à la santé.